En cette troisième journée, les élèves s’en sont encore donnés à cœur joie. Dépassant parfois leurs appréhensions, leurs peurs, ils ont su relever en partie de nombreux défis proposés… À vous de découvrir en suivant le lien en bas de l’article leurs expériences…
La balade dans la grotte : « pour nous rendre à la grotte, nous avons pris le bus. Puis nous sommes arrivés dans la forêt, avons emprunté des chemins étroits pour arriver à l’entrée de la grotte qui s’appelle « la Caborne du bœuf ». Dès l’entrée dans la grotte, nous avons vu deux grosses stalactites qui se sont formées il y a 15000 ans, une chauve-souris et des araignées. Jean Luc nous a expliqué que ces animaux la étaient très utiles. Pour avancer dans la grotte nous avons du passer dans des flaques d’eau et longer les parois rocheuses. Nous nous sommes amusés à nous peindre le visage avec de l’argile. Nous avons emprunter un toboggan naturel, puis ramper dans un petit tunnel étroit. Nous avons ensuite pris le chemin inverse pour ressortir ». (autrice : Zoé M, groupe 2)
Le paddle au soleil : « nous avons commencé par mettre des combinaisons et des gilets de sauvetage. Nous avons ensuite préparé les planches et récupéré des pagaies pour nous diriger et avancer sur l’eau. Nous avons ensuite fait des exercices pour apprendre à diriger le paddle (marche arrière, tourner, tenir correctement sa pagaie…). nous avons ensuite traversé le lac qui fait 800m de large au niveau de la base nautique, pour aller voir la cascade et la statue de la queue de la sirène » (autrices : Anaïs et Lucie, groupe 1)
Le catamaran à toute vitesse : « nous avons bien aimé l’activité catamaran aujourd’hui car il y avait beaucoup de vent et on allait super vite et un de nos catamarans s’est pris une douche par les vagues ! Le moniteur nous a appris du vocabulaire : l’écoute (c’est la corde qui permet de tendre la grande voile), tribord et babord (la droite et la gauche), le foc (c’est la petite voilée devant que l’on sort quand il y a beaucoup de vent), le safran (qui permet de faire tourner le bateau sur l’eau), le gouvernail (qui permet de diriger le safran). C’était trop cool sauf quand le bateau s’est penché sur le côté à cause du vent, on a eu peur ! Le plus dur était de savoir tendre l’écoute juste ce qu’il fallait… » (auteurs : Lana Guerillot, Milo, Augustin, groupe 1)
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