Un peu de poésie…

Découvrez les poèmes des élèves de 4ème A !

Bonne lecture !

 

La peur d’un enfant

 

Un jour je me promenais dans la rue

Telle une âme érante parmi les corps perdus

Je vis un homme qui me fixait bizzarement

Il s’approcha de moi, étant intrigué

Je lui dis : »Laissez moi ! Je vais me retrouver. »

Tout à coup un son, une sorte de grincement

Une porte s’ouvrit et mon frère était apparent

J’étais rassuré d’avoir retrouvé mon aîné

Et de lui dire à quel point il m’avait manqué

Je lui dis : Merci ! », partis de tout coeur

Et je me réfugiai dans les bras du bonheur.

Louis C

Un Amour Envolé

Le soleil se lève

Comme dans un rêve

J’ouvre les yeux bleus,

Et la lumière bleue reflète sur mes cheveux

depuis des années

je pense à ma bien aimée,

Qui s’est envolée,

Comme un ange qui se dévoile

avec son beau regard d’étoile

le soleil s’en va avec toi,

et ma tête n’arrête pas de penser à toi

je te rejoindrai au ciel pour l’éternité

je t’aime ma destinée

                                                                                                                   Louana .

Ma destinée partie

J’étais assis sur un banc ;

Quand je vis devant moi

Un champ d’arbres blancs ;

Une jeune femme qui regardait ses doigts.

Cette femme se fut mon premier amour,

Elle était belle, gentille, élégante, brillante ;

Elle me faisait penser à une étoile pétillante,

Elle était pleine d’humour.

Je lui avais pris la main,

Lui avais offert un bouquet de thym.

Ce jour là elle était belle comme une fleur qui venait d’éclore,

Elle adorait les fleurs surtout celles qui viennent du Vercors.

A ce moment-là elle était ma destinée pour toujours,

Depuis, j’y pense tous les jours.

                                                                            Clarisse

L’ange

Quand je vis cette jeune fille, émerveillé,

Marcher le long de la rivière bruyante

On aurait dit un petit ange rayonnant

Elle m’aperçut et je partis lui parler

On regardait notre reflet dans la rivière

Le soleil rayonnait au-dessus de nos têtes

Les feuilles s’ envolaient comme des petites plumes

Elle était une fille simple et généreuse

C’est sûr, elle aura une suite très heureuse

Je voulais lui baiser la joue, mais je dérange

Un jour je l’ai aimé toujours je l’aimerai

J’aimerais tant que notre amour reste à jamais

Sa beauté était égale à celle d’un ange

Putelat Maxime

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